CMS, l’outil clé pour limiter les arrêts maladie abusifs
Les statistiques parlent d’elles-mêmes : dans certains secteurs, la facture des arrêts maladie grimpe à une vitesse sidérante. Entre les postes à risques et les obligations légales, l’employeur se retrouve parfois à jongler avec des absences qui laissent planer le doute. Pour ces arrêts qui s’étirent sans raison valable, ou ces certificats médicaux qui tombent à pic, Contrôle Médical Service (CMS) propose une riposte concrète et encadrée.
Plan de l’article
Dans quel contexte faire appel à CMS ?
En France, chaque employeur dispose du droit de solliciter un contrôle médical lorsqu’un salarié déclare un arrêt de travail. Ce recours n’est pas automatique pour autant. À chaque absence, il faut verser des indemnités, en complément de celles de la Sécurité Sociale. Face à des arrêts parfois discutables ou prolongés sans justification claire, la solution CMS se déploie partout dans l’Hexagone pour aider à repérer les situations litigieuses et agir avec discernement.
Les différentes solutions mises en place

Pour limiter les abus et mieux encadrer l’absentéisme, plusieurs dispositifs sont proposés par CMS. Voici les principales interventions qui font la différence.
Une contre-visite médicale
Lorsque la fiabilité d’un arrêt maladie semble discutable, la contre-visite médicale s’impose comme un levier déterminant. Il arrive parfois que des documents médicaux soient obtenus par entente avec un praticien peu scrupuleux. Pour lever toute ambiguïté, CMS dépêche un médecin du même domaine que celui qui a prescrit l’arrêt. Selon les modalités de sortie prévues pour le salarié, cette contre-visite s’effectue soit à domicile, soit en cabinet. Le médecin transmet ensuite son rapport à CMS, qui vous le fait suivre par le canal convenu. Cette démarche, encadrée et précise, permet de clarifier la situation rapidement.
Les expertises médicales
Dans certains dossiers, comprendre l’origine exacte de l’arrêt maladie prend toute son importance. CMS met alors en place une expertise médicale approfondie pour identifier la cause réelle de l’absence. Ce recours s’avère pertinent lorsqu’un doute subsiste sur le lien entre l’accident évoqué et l’activité professionnelle, ou lorsque la durée de l’arrêt dépasse 20 jours. Au-delà de 60 jours, un entretien complémentaire avec le salarié est organisé pour aller au fond des choses et vérifier la cohérence de l’arrêt. Cette étape vise à éviter que des situations extérieures à l’entreprise ne soient imputées à tort à l’environnement de travail.
L’entretien de retour
Après une longue absence, le retour au bureau n’est pas toujours un simple passage de relais. Le risque de rechute, la difficulté à reprendre le rythme, tout cela peut prolonger la désorganisation. CMS offre alors un accompagnement sur-mesure : formation des managers à la conduite d’entretiens de reprise, analyse des motifs d’absence et conseils pour réintégrer le collaborateur dans de bonnes conditions. Ce suivi permet à la fois de prévenir les récidives et de renforcer la cohésion au sein de l’équipe. Pour plus de renseignements, le lien ci-dessus détaille l’ensemble des modalités.
La lutte contre l’absentéisme abusif ne se résume pas à une chasse aux sorcières. Elle exige méthode, transparence et respect des droits de chacun. En mobilisant les outils adaptés, CMS pose un cadre clair, où la confiance retrouve sa place face à la tentation du faux arrêt. Une démarche qui, au fil du temps, change la donne pour les employeurs comme pour les salariés. Qui aurait cru que quelques contrôles bien pensés pouvaient rééquilibrer tout un climat social ?