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Designer : Qui détient le titre de plus grand designer en 2025 ?

En 2025, le classement annuel du magazine Dezeen bouleverse la hiérarchie établie depuis une décennie. Des figures montantes, jusqu’alors absentes des podiums, s’imposent face à des noms historiques du design international.

Le choix du plus grand designer ne repose plus uniquement sur le palmarès ou la notoriété, mais sur l’impact social, l’innovation durable et la résonance culturelle des œuvres. Ce changement de critères crée des divergences notables entre institutions, professionnels et marchés, révélant de nouvelles dynamiques dans la reconnaissance des talents.

Panorama 2025 : le design à l’heure des mutations et des nouveaux visages

L’année 2025 impose un tournant dans la direction artistique des grandes maisons. Paris, Milan, New York : la carte du design haut de gamme se redessine au gré de trajectoires inattendues. Matthieu Blazy prend les commandes de Chanel, succédant à Virginie Viard, un passage de relais qui, dès janvier, fait vibrer la scène parisienne et place Blazy au centre des discussions sur l’excellence design. À Milan, la dynamique ne ralentit pas : Louise Trotter, après des années chez Joseph et Lacoste, succède à Blazy chez Bottega Veneta.

Mais ce n’est pas fini. Sarah Burton quitte Alexander McQueen pour reprendre la barre chez Givenchy. Haider Ackermann signe une double prise de risque en assumant la direction de Tom Ford et Canada Goose, jonglant entre Paris et Toronto. Ces mouvements révèlent une génération de meilleurs designers qui savent conjuguer héritage et innovation, et qui n’hésitent pas à redéfinir l’identité de marques mythiques.

Voici la liste des nouveaux acteurs qui dessinent le paysage 2025 :

  • Julian Klausner succède à Dries Van Noten, fusionnant tradition et audace créative.
  • Peter Copping, passé par Nina Ricci, Oscar de la Renta et Balenciaga, rejoint Lanvin.
  • Veronica Leoni, créatrice de Quira, prend la direction artistique de Calvin Klein après des expériences chez Céline, Moncler et The Row.
  • Lorenzo Serafini, après Philosophy, prend la tête artistique d’Alberta Ferretti.

La question du plus grand designer en 2025 ne se concentre plus sur une seule personnalité. Les grandes maisons misent désormais sur des profils multiples, des itinéraires variés, où le courage de bousculer les codes l’emporte sur la fidélité au passé. France, Italie, États-Unis : chacun défend sa vision dans ce jeu d’influences qui rebat les cartes du prestige et du rôle de star dans le design.

Quels créateurs dominent la scène mondiale aujourd’hui ?

Le paysage mondial du design évolue, porté par des personnalités affûtées et des carrières singulières. Matthieu Blazy, désormais à la tête de Chanel après son passage remarqué chez Bottega Veneta, incarne parfaitement ce renouvellement. Son arrivée en janvier 2025 chez Chanel s’accompagne d’une vision affirmée, qui redéfinit le prestige du poste de directeur artistique à Paris.

Milan n’est pas en reste : Louise Trotter prend la relève chez Bottega Veneta, prouvant la vitalité de la scène italienne. Son parcours, de Joseph à Lacoste en passant par Carven, lui permet d’élaborer une approche mêlant respect de la tradition et goût du risque. Sarah Burton, après un long règne chez Alexander McQueen, s’impose chez Givenchy et poursuit le dialogue entre élégance classique et modernité audacieuse.

La scène internationale s’élargit encore. Haider Ackermann assume la direction de Tom Ford et Canada Goose, en équilibre entre rigueur et liberté créative. Julian Klausner, fort de son expérience chez Margiela et Thom Browne, s’impose chez Dries Van Noten. Peter Copping, après Nina Ricci, Oscar de la Renta et Balenciaga, s’établit chez Lanvin. Veronica Leoni, à l’origine de Quira, rejoint Calvin Klein, tandis que Lorenzo Serafini prend en main Alberta Ferretti après avoir fait ses armes chez Philosophy, Dolce & Gabbana ou Roberto Cavalli.

La notion de meilleurs designers prend une nouvelle dimension. Entre Paris, Milan et New York, une nouvelle forme d’influence émerge. Les créateurs, grâce à leurs choix et à leurs alliances, redessinent en profondeur la scène du design contemporain, sans frontières ni carcans.

Directeurs artistiques et designers : figures marquantes et révélations récentes

Le titre de plus grand designer en 2025 échappe à l’idée d’un héros solitaire. La direction artistique se réinvente à travers une nouvelle génération de créateurs et créatrices, souvent à la tête de maisons historiques ou à la barre de labels émergents. À Paris, le passage de témoin entre Matthieu Blazy et Virginie Viard chez Chanel, attendu en janvier, symbolise le renouvellement d’un patrimoine et l’injection d’une vision inédite dans l’ADN de la maison.

Milan vit aussi une transition vibrante : Blazy cède la place à Louise Trotter chez Bottega Veneta. Son parcours, de Joseph à Lacoste et Carven, la propulse au rang des révélations de l’année. Sarah Burton, après avoir incarné la mémoire d’Alexander McQueen, prend la direction artistique de Givenchy et perpétue un équilibre entre exigence et inventivité.

De nouveaux noms s’imposent au fil des saisons. Julian Klausner, fort de son expérience chez Martin Margiela et Thom Browne, succède à Dries Van Noten. Peter Copping, passé par Nina Ricci, Oscar de la Renta et Balenciaga, rejoint Lanvin. Veronica Leoni, fondatrice de Quira, arrive à la tête de Calvin Klein, tandis que Lorenzo Serafini, après Philosophy, reprend Alberta Ferretti.

Le poste de directeur artistique, longtemps réservé à quelques privilégiés, s’ouvre désormais à des profils aux parcours multiples, parfois fondateurs de leur propre marque. Cette mobilité et ce goût de la réinvention façonnent une époque marquée par le mouvement, la fusion des inspirations et une recherche d’excellence design qui refuse toute frontière.

Designer avec trophée lors d

Vers le futur : tendances, débats et enjeux qui redéfinissent la grandeur en design

En 2025, la notion de plus grand designer dépend d’une alchimie entre créativité, influence et capacité à saisir l’air du temps. Le monde du design, qu’il s’agisse de mode, de mobilier ou d’objets connectés, se façonne dans un dialogue constant entre tradition et innovation. Les nouveaux directeurs et directrices artistiques, passés par des maisons comme Celine, Balenciaga, Moncler ou The Row, incarnent une mobilité où le parcours compte autant que la signature stylistique.

Trois tendances majeures structurent cette dynamique :

  • La quête de nouveaux matériaux et la réflexion sur la durabilité, au cœur des laboratoires créatifs de Tokyo à Paris.
  • L’intégration subtile de l’appareil connecté, qui brouille les frontières entre esthétique et fonction.
  • L’émergence de figures comme Patricia Urquiola ou Faye Toogood, qui naviguent sans complexe entre art, design industriel et artisanat.

Les débats animent la profession : tradition ou expérimentation, excellence ou responsabilité sociale ? Le rôle de directeur artistique exige aujourd’hui une vision large, capable de devancer les évolutions du marché sans jamais sacrifier l’exigence créative. Les maisons misent sur des personnalités telles que Julian Klausner ou Veronica Leoni, capables de conjuguer savoir-faire, modernité et regard critique. Désormais, la grandeur en design s’évalue à l’aune de la capacité à entraîner tout un secteur, à inventer de nouveaux récits, à ouvrir la voie.

En 2025, le design s’écrit au pluriel. Les noms changent, les lignes bougent, mais une certitude demeure : l’avenir appartient à ceux qui osent redéfinir les règles du jeu.