Le trading électronique en nette augmentation
Depuis de nombreuses années, le trading classique reculait face à l’électronique : une tendance qui se confirme depuis la crise sanitaire. Dorénavant, en moyenne, 50 % des transactions se font par le web. Cette proportion serait même montée à plus de 70 % entre avril et juin. Le COVID-19 a obligé certains traders amateurs, ou même professionnels, à changer leurs pratiques.
Plan de l’article
La chute de la bourse mondiale
Le COVID-19 a mis les entreprises à l’arrêt ou presque. Les marchés mondiaux se sont vite effondrés et l’économie mondiale a ralenti sa course. Le CAC40, indicateur français notant les 40 plus grandes entreprises a chuté de plus de 6000 points en février soit son niveau le plus bas depuis le krach boursier de 2008. En revanche, les amateurs et les professionnels du trading ont pu quand même continuer leurs activités sans trop de soucis grâce à l’électronique.
Les matières premières en CFD, de quoi diversifier ses placements
Tout d’abord, les CFDs sont un contrat permettant de spéculer a la hausse ou à la baisse d’un actif. L’avantage, surtout dans les matières premières, c’est que le marché est volatile et, par conséquent, vous pouvez profiter des plus-values. Si tout ceci vous intéresse, n’hésitez pas à vous renseigner et à lire ça. Toutefois, le CFD ne concerne évidemment pas que les matières premières. L’automobile est en plein essor actuellement et selon les estimations, au moins jusqu’en 2029. En tout cas, de nombreuses opportunités sont à saisir.
Pas de retour en arrière pour les marchés « à la criée »
Selon les spécialistes de JPMorgan (entreprise de holding financier) dans leur dernier rapport : ils estiment que les clients sont désormais plus à l’aise à l’idée d’échanger en ligne. Même si un léger recul se fait ressentir dans les prochains mois. La crise sanitaire n’étant pas finie, il se pourrait bien que les marchés financiers ne reprennent pas leur activité classique.
Le trading électronique comme fer de lance de la relance des marchés
La crise sanitaire a eu comme effet de déclencher une grande accélération dans le domaine du trading électronique : 70 % de tous les échanges, en juin, se sont faits par les voies électroniques. C’est d’ailleurs ce qui a obligé le marché des matières premières en CFD à migrer sur le web. La bourse de Londres, dernier grand marché classique européen prévoit quand même de rouvrir le plus vite possible son marché « à la criée ». Affaire à suivre…