La suppression progressive de la taxe d’habitation ne concerne pas les résidences secondaires. Un logement meublé, non occupé à titre de résidence principale au 1er janvier, reste soumis à cet impôt, même si le propriétaire s’acquitte déjà d’autres taxes locales. Doublon fiscal ou critère d’habitation trop strict, la réglementation laisse peu de marge d’interprétation.Certaines exceptions
Deux loyers identiques ne génèrent pas forcément le même revenu locatif net. Les charges récupérables, la fiscalité et les frais de gestion peuvent modifier de façon significative la rentabilité d’un bien immobilier, même lorsque le montant perçu chaque mois reste stable.Certaines dépenses, souvent négligées, réduisent le rendement réel et compliquent la comparaison entre plusieurs investissements.
Certains logements classés F ou G pourraient voir leur étiquette DPE revalorisée sans aucun travaux, uniquement par une modification des méthodes de calcul. Les propriétaires de petites surfaces bénéficient d’une révision des critères, après des années de contestations sur l’équité du système. Le calendrier d’application, déjà repoussé, s’accompagne de nouvelles obligations qui s’imposent à tous