La vente d’un bien immobilier en France entraîne automatiquement l’examen d’une possible imposition sur la plus-value réalisée. La loi prévoit un taux global de 36,2 % pour l’impôt et les prélèvements sociaux, mais ce taux ne s’applique pas uniformément à toutes les situations. Des dispositifs d’exonération existent, notamment pour la résidence principale ou dans certains
Le régime fiscal réel simplifié peut, dans certaines situations, permettre de creuser un déficit foncier, alors même que certains statuts locatifs l’interdisent purement et simplement. La SCI à l’impôt sur le revenu s’impose par sa transparence fiscale, tandis qu’une location meublée sous le statut LMNP se distingue par une imposition calculée sur les bénéfices réels,
À surface égale, un logement T1 sera généralement moins cher à diagnostiquer qu’un T2, bien que la différence de prix ne repose pas sur la taille mais sur le nombre de pièces principales à inspecter. Une pièce supplémentaire peut parfois faire basculer un bien immobilier dans une autre catégorie, influençant la perception du confort et la valeur locative. La réglementation française encadre précisément ces classifications, mais des disparités subsistent selon les régions et les pratiques des professionnels. Les annonces immobilières affichent parfois des dénominations ambiguës, laissant place à des incompréhensions, notamment lors de l’achat ou de la location d’un bien. […]